Trilogie « Pour Toujours »

Les deux premiers tomes de la trilogie « Pour Toujours » paraîtront lors du premier trimestre 2023 aux Éditions Sydney Laurent.

Quand, le 14 juillet 1963, Arthur et Morgane se rencontrent dans les rochers de la plage de la Garonne au Pradet, ils sont loin de se douter du feu d’artifice d’aventures qu’ils vont vivre ensemble. Ils sont nés tous les deux le 13 novembre 1951, lui à Paris, elle à Toulon ; ils ont chacun des parents qui terminent dans la douleur, une histoire impossible.

Dans « La cinquième marche » (Tome 1), nous allons vivre leur dizaine pendant ces années soixante marquées de tant de bouleversements. Été après été, nous les accompagnerons dans leurs jeux, leurs découvertes mutuelles, leurs transformations de l’enfance à l’adolescence, d’abord au Pradet, ensuite à Contes dans l’arrière-pays Niçois. Amour ? Amitié ? Au mi-temps de cette dizaine, ils échangent un serment que ni le temps, ni les habitudes, ni les ritournelles de la vie ne parviendront à détruire.

Dans « Côté Cœur, côté corps » (Tome 2), nous retrouvons Arthur et Morgane dans les années quatre-vingts. Chaque été, chaque fête de fin d’année, ils se retrouvent à Contes. Ils ont trente ans, chacun un enfant souvenir d’une vie amoureuse sans espoir. Un évènement les dépose dans les Hautes-Alpes. Nous allons y parcourir leur trentaine, y découvrir d’autres chemins, d’autres aventures, y faire d’autres rencontres dans ces années où le Sida sème sa terreur et la drogue son malheur ! Amitié ? Amour ? Au crépuscule de leur trentaine, la vie installe nos deux inséparables à Contes, point de ralliement familial et amical, avec sa fontaine, ses launes, ses lendemains… 

Le Tome 3 de cette trilogie nous fera cheminer dans la soixantaine d’Arthur et Morgane et au-delà. Avez-vous remarqué ? Nous disons la dizaine, la vingtaine et ainsi jusqu’à la soixantaine. Ensuite, le néant. Avez-vous constaté ? Nous affichons nos unités jusqu’à la quarantaine, ensuite, nous en restons à la dizaine. Par modestie ou par pudeur ? Et si c’était la peur ? Peur de vieillir, peur de mourir ?